mais Knell a toujours un train de retard
chat c'est certain
Dans le mille Emile (7)
#52
Vi vi nous aussi, mais y'en a un qui roupille dans le fond.wolf.dma a écrit :Je suis pret à continuer à lire vos aventures !
Il a un train de retard alors qu'il conduit des avions, c'est fou non ?
Signe Werner, truffe qui va voir si la SNCF n'est pas en greve
#53
Alors tu l'as trouvé le pilote furtif ........parceque au train ou vont les choses........tu devrais reprendre la plume en main Werner
........parceque au train ou vont les choses........tu devrais reprendre la plume en main Werner #54
.......quand vous marquez des pauses c'est pas a moitié alors:hum: 
ou c'est la fin d'une épopée:crying:
#55
Roooooooooh tout de suite les grands mots, la fin d'une epopee, rien que ca...
Une promenade champetre dans les bois, a la limite.
Je vais peut etre m'y recoller bientot, bien que ce soit le tour du Knell.
Pour la pause, oui, j'ai le neurone en surchauffe.
Signe Werner, truffe qui va se mettre au vert (pi au jaune aussi)
Une promenade champetre dans les bois, a la limite.
Je vais peut etre m'y recoller bientot, bien que ce soit le tour du Knell.
Pour la pause, oui, j'ai le neurone en surchauffe.
Signe Werner, truffe qui va se mettre au vert (pi au jaune aussi)
#57
- C'est l'heure, c'est le jour dit Werner.
- On se casse rencherit Riné.
- Et tu n'as pas le choix dit Maurice avec un oeil noir.
Markus se dressa sur la pointe des pieds et regarda par dessus l'epaule de Werner qui lui faisait face.
Toute cette clique incroyable etait la. René, avec son chat, Werner qui semblait etre le chef avec son fauve a ses pieds qui reniflait par terre, un des mitrailleurs aussi, Raymond et cette brute epaisse de Maurice. Meme le resistant du debut etait la, comment s'appelait-il deja ? ... Gérard, c'est ca, Gérard. C'est lui qui avait l'air d'etre le contact en france.
Markus le devisageait pour bien se rappeler de son visage une fois qu'il se serait echappé, qu'il serait libre et qu'enfin ces partisans soient arrétés.
Pour l'instant, il etait encore loin d'etre libre.
Maurice l'attrappa par le bras et lui planta le canon de son revolver dans les cotes.
- Toi, tu nous suis gentiment.
- Laisse courrir Maurice dit Werner, le clebard bouffe des topinambours depuis un an, un mot, un geste et le clebs en fait son quatre heure.
En effet, le chien lechait deja les bottes de vol Markus.
Markus senti la sueur couler le long de son dos.
- Aller, assez discuté, il faut y aller insista Gérard, on va rater le rendez-vous.
Il se senti entrainer dans le noir vers la voiture qui attendait devant l'entrée, tout feux éteints, moteur tournant.
Il se retourna, jetant un dernier regard vers Germaine dont la silhouette se detachait dans la lumiére de la porte.
Un an a supporter cette hysterique, cette mégére. Bon vent la vieille se dit-il.
Quelle desorganisation chez ces Francais, on devait les sortir de la le premier soir aprés le crash ! Un an, un an que tout le monde attendait, vraiment, quelle idée de les envahir !
La voiture fila a tombeau ouvert dans la nuit.
Markus se retrouva encore avec le chien sur les genoux, René et Maurice, armés, l'encadrait.
- Et, ... ou va-t-on ?
- Ta gueule grommela Maurice avec un rictus méchant
- Sors nous tout de meme des biéres demanda Werner, on va pas se laisser abattre.
- Ou va-t-on ? se demandait avec angoisse Markus en partageant sa biére avec le chien. En Angleterre ou est-ce une mascarade pour m'emmener moi, vers mon dernier voyage ?
Signé Werner, truffe sortie de la pause
- On se casse rencherit Riné.
- Et tu n'as pas le choix dit Maurice avec un oeil noir.
Markus se dressa sur la pointe des pieds et regarda par dessus l'epaule de Werner qui lui faisait face.
Toute cette clique incroyable etait la. René, avec son chat, Werner qui semblait etre le chef avec son fauve a ses pieds qui reniflait par terre, un des mitrailleurs aussi, Raymond et cette brute epaisse de Maurice. Meme le resistant du debut etait la, comment s'appelait-il deja ? ... Gérard, c'est ca, Gérard. C'est lui qui avait l'air d'etre le contact en france.
Markus le devisageait pour bien se rappeler de son visage une fois qu'il se serait echappé, qu'il serait libre et qu'enfin ces partisans soient arrétés.
Pour l'instant, il etait encore loin d'etre libre.
Maurice l'attrappa par le bras et lui planta le canon de son revolver dans les cotes.
- Toi, tu nous suis gentiment.
- Laisse courrir Maurice dit Werner, le clebard bouffe des topinambours depuis un an, un mot, un geste et le clebs en fait son quatre heure.
En effet, le chien lechait deja les bottes de vol Markus.
Markus senti la sueur couler le long de son dos.
- Aller, assez discuté, il faut y aller insista Gérard, on va rater le rendez-vous.
Il se senti entrainer dans le noir vers la voiture qui attendait devant l'entrée, tout feux éteints, moteur tournant.
Il se retourna, jetant un dernier regard vers Germaine dont la silhouette se detachait dans la lumiére de la porte.
Un an a supporter cette hysterique, cette mégére. Bon vent la vieille se dit-il.
Quelle desorganisation chez ces Francais, on devait les sortir de la le premier soir aprés le crash ! Un an, un an que tout le monde attendait, vraiment, quelle idée de les envahir !
La voiture fila a tombeau ouvert dans la nuit.
Markus se retrouva encore avec le chien sur les genoux, René et Maurice, armés, l'encadrait.
- Et, ... ou va-t-on ?
- Ta gueule grommela Maurice avec un rictus méchant
- Sors nous tout de meme des biéres demanda Werner, on va pas se laisser abattre.
- Ou va-t-on ? se demandait avec angoisse Markus en partageant sa biére avec le chien. En Angleterre ou est-ce une mascarade pour m'emmener moi, vers mon dernier voyage ?
Signé Werner, truffe sortie de la pause
#58
Y a un tron d'arbre au milieu de la route, bordelll !
Gggrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Le frein de la bagnol bloqua, sec, les sardines résistantes truffées à la bestiole
poilue, firent un mouvement de contraction vers l'avant. Certains perdirent leur
dentier, d'autres leur fond de culotte... Il fut un moment avant que chacun
reprennent controle de ses membres.
Devant la voiture, les phares découpaient une silhoutte humaine... Germaine.
Sa grosse paluche frappa le capot, et elle ouvrit la porte où se tenait werner.
Comme toutes les femmes, elle avait ravalée sa tête de merlan frit par des couleurs
exotiques, arrondis ses ongles, raclé sa langue pour décharger son l'haleine, et lue
quelques mots croisés pour ranimer son vocabulaire, réduit, depuis belle lurette ,
à celui de la télécommande.
Werner ahuris... sorti de la voiture et lui dit...
[A suivre]
Gggrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
Le frein de la bagnol bloqua, sec, les sardines résistantes truffées à la bestiole
poilue, firent un mouvement de contraction vers l'avant. Certains perdirent leur
dentier, d'autres leur fond de culotte... Il fut un moment avant que chacun
reprennent controle de ses membres.
Devant la voiture, les phares découpaient une silhoutte humaine... Germaine.
Sa grosse paluche frappa le capot, et elle ouvrit la porte où se tenait werner.
Comme toutes les femmes, elle avait ravalée sa tête de merlan frit par des couleurs
exotiques, arrondis ses ongles, raclé sa langue pour décharger son l'haleine, et lue
quelques mots croisés pour ranimer son vocabulaire, réduit, depuis belle lurette ,
à celui de la télécommande.
Werner ahuris... sorti de la voiture et lui dit...
[A suivre]
#59
- Dis donc la vieille, tu te prends pour un castor pour couper des arbres comme ca en pleine nuit ?
Faudra apprendre a viser la prochaine fois.
- Laisse pisser Werner rétorqua Maurice en se frottant le bout du nez, le contact avec le siége avant avait étè un peu brutal.
- Mais qu'est ce qu'elle fout là ? questiona René la tete émergeant de la boite à gant, on a failli se l'emplatrer cette pocharde.
Markus retira la patte du chien qui lui écrasait le visage. Il osa jeter un coup d oeil dehors.
La furie était la, s'agitant et vociférant en tout sens. Markus avait étè confié à elle. Une paysanne, veuve de la Grande Guerre, ivre morte du matin au soir.
Le gabarit d'un cheval de trait, l'intelligence en moins, les poils en plus.
Germaine lui rappelait la nourrice de son enfance, en Prusse Orientale, Gréta. Il se rappelait encore avec nostalgie quand elle le bercait dans ses bras, des premiers mots qu'il avait lus de sa vie, "Deutchland uber alles", le tatouage en lettres gothiques, qu'elle avait, tatoué, autour de son biceps de demenageur.
Les deux étaient pleines d'amour pour lui mais le calva attaquait plus les neurones que la bière. ( PS : Ca je ne sais pas, il aurait fallu que je choisisse l'un ou l'autre, de tte facon, maintenant c'est trop tard)
Alors que Greta n'etait que 110 Kg de tendresse et de douceur, Germaine était une harpie, terrorisant son monde.
Il avait pensé s'évader facilement, grossière erreur, célibataire depuis des années, la mégère était tombée immédiatement amoureuse de lui, ne le lachant pas d'une semelle. Il avait contenu avec peine les avances, sous 3 gr d'alcool, du pachyderme enamouré pendant l'année écoulée, regrettant amérement de ne pas avoir tenté de s'évader avant.
La balle qu'il aurait prise dans la tete lui aurait épargné cette année de peurs, d'effroi et de souffrances. Et là, il revoyait ce monstre se trémoussant dans la faible lumière des phares de la voiture.
- Elle vient me chercher, me ramener chez elle, pensa-t-il.
La panique commencait à gagner Markus, coincé sous le chien, avec les deux types qui l'encadraient, rendant toute échappatoire vers les portières impossibles. Il commencait à s'agiter, à s'affoler, écrasé par le poids du chien. Dans un dernier sursaut de terreur, il attrapa la queue du chien, pret a le mordre de toutes ses forces, espérant une réaction meurtrière du monstre, nourri aux topinambours et aux rutabagas depuis un an. Il ferma les yeux et approcha la queue du chien de ses dents. La délivrance allait arriver, brutale et violente mais plus douce que de retomber dans les griffes de Germaine...
Signe Werner, truffe qui trouve que certains n'ont pas de-pausé.
Faudra apprendre a viser la prochaine fois.
- Laisse pisser Werner rétorqua Maurice en se frottant le bout du nez, le contact avec le siége avant avait étè un peu brutal.
- Mais qu'est ce qu'elle fout là ? questiona René la tete émergeant de la boite à gant, on a failli se l'emplatrer cette pocharde.
Markus retira la patte du chien qui lui écrasait le visage. Il osa jeter un coup d oeil dehors.
La furie était la, s'agitant et vociférant en tout sens. Markus avait étè confié à elle. Une paysanne, veuve de la Grande Guerre, ivre morte du matin au soir.
Le gabarit d'un cheval de trait, l'intelligence en moins, les poils en plus.
Germaine lui rappelait la nourrice de son enfance, en Prusse Orientale, Gréta. Il se rappelait encore avec nostalgie quand elle le bercait dans ses bras, des premiers mots qu'il avait lus de sa vie, "Deutchland uber alles", le tatouage en lettres gothiques, qu'elle avait, tatoué, autour de son biceps de demenageur.
Les deux étaient pleines d'amour pour lui mais le calva attaquait plus les neurones que la bière. ( PS : Ca je ne sais pas, il aurait fallu que je choisisse l'un ou l'autre, de tte facon, maintenant c'est trop tard)
Alors que Greta n'etait que 110 Kg de tendresse et de douceur, Germaine était une harpie, terrorisant son monde.
Il avait pensé s'évader facilement, grossière erreur, célibataire depuis des années, la mégère était tombée immédiatement amoureuse de lui, ne le lachant pas d'une semelle. Il avait contenu avec peine les avances, sous 3 gr d'alcool, du pachyderme enamouré pendant l'année écoulée, regrettant amérement de ne pas avoir tenté de s'évader avant.
La balle qu'il aurait prise dans la tete lui aurait épargné cette année de peurs, d'effroi et de souffrances. Et là, il revoyait ce monstre se trémoussant dans la faible lumière des phares de la voiture.
- Elle vient me chercher, me ramener chez elle, pensa-t-il.
La panique commencait à gagner Markus, coincé sous le chien, avec les deux types qui l'encadraient, rendant toute échappatoire vers les portières impossibles. Il commencait à s'agiter, à s'affoler, écrasé par le poids du chien. Dans un dernier sursaut de terreur, il attrapa la queue du chien, pret a le mordre de toutes ses forces, espérant une réaction meurtrière du monstre, nourri aux topinambours et aux rutabagas depuis un an. Il ferma les yeux et approcha la queue du chien de ses dents. La délivrance allait arriver, brutale et violente mais plus douce que de retomber dans les griffes de Germaine...
Signe Werner, truffe qui trouve que certains n'ont pas de-pausé.
#60
Cette nuit là, les étoiles transpiraient sur la voie lactée. Le ciel, comme une longue
tartine chargé de caviar, semblait finir deux mètres au dessus de la voiture noir et
brillante comme une boule de billard.
Markus, la queue du chien entre les dents, fit une découverte prodigieuse sur cette
femmes. Il tenait, enfin, toute la complexité de cet être à la fois indécis et lunatique,
au bout de son cerveau, comme une oasis dans les délirs d'un assoifé.
Il faut savoir que, plutôt dans la journée, Markus avait vu pendre
les langes de Germaine. Il avait remarqué les initiales K&E à l'intérieur du
bouton central. Son esprit n'avait pas été plus loin que le lavis dégueulasse
qui tapissait le font de ses cuisses. MAis à cette heure, tout s'aligna. C'était
mortellement évident !
La queue du chien avait commencée à se balancer lorsque Werner enfonça sa
tignasse dans l'abitacle de la voiture. Et Markus dit, la queue entre les dents, une
série de gémissement qui attirèrent l'attention des occupants.
"Ecoutez, tous, j'ai quelque chose de très important à vous dire."
Germaine coupa sec, l'apparté, et dit : j'ai un niveau d'étude
suffisant pour savoir ce qui me revient de droit. Ce n'est pas parce que l'on
ne me connait pas que je n'ai pas publié. Et vous, à quel age avez vous passez
votre bac ? D'ailleurs, chers guerriers du dimanche, le célébrissime Albert EINSTEIN
a écrit cette phrase extrême : " La militarisation , c'est le CANCER de la civilisation"
Qu'en pensez-vous ?
...
...
Werner fit pivoter sa tête, un oeil plié vers la Germaine :
"keske tu baves là comme connerie ? T'en as pas assez dans ta culotte
pour l'étaller à l'air libre ? Putain, Markus, y a un divan là bas, sur le bas coté...
occupes là un peu, qu'elle nous lache ! "
Et Germaine :
"Le comportement intime des gens détermine leur comportement public !
Il est utile de savoir que Mitterrand a confié la lourde tâche de la Défense
Nationale à un obsédé sexuel qui s'est marié officiellement à 5 ( oui , cinq )
reprises , à tel point que le président a fini par lui dire :
" HERNU , vous n'êtes pas obligé d'épouser chaque fois que vous couchez ! "
Choisir ses compagnes parmi les danseuses du LIDO ou du CRAZY HORSE ,
c'est d'un goût plus que douteux pour un ministre , ce qui peut expliquer les
dérives multiples de HERNU comme celle de WERNER !
La fin du ministre de la Défense de la France a d'ailleurs été minable
puisqu'il s'est affalé en râlant grossièrement à la tribune d'un meeting public
puis est mort en coulisses !
EROS et THANATOS , râles de jouissance et de mort , tout est lié !
Werner renfonça sa tête défaite dans la boule de billard et approcha sa
bouche du cul du chien où Markus était caché...
- Qu'est ce qu'on fait ?
tartine chargé de caviar, semblait finir deux mètres au dessus de la voiture noir et
brillante comme une boule de billard.
Markus, la queue du chien entre les dents, fit une découverte prodigieuse sur cette
femmes. Il tenait, enfin, toute la complexité de cet être à la fois indécis et lunatique,
au bout de son cerveau, comme une oasis dans les délirs d'un assoifé.
Il faut savoir que, plutôt dans la journée, Markus avait vu pendre
les langes de Germaine. Il avait remarqué les initiales K&E à l'intérieur du
bouton central. Son esprit n'avait pas été plus loin que le lavis dégueulasse
qui tapissait le font de ses cuisses. MAis à cette heure, tout s'aligna. C'était
mortellement évident !
La queue du chien avait commencée à se balancer lorsque Werner enfonça sa
tignasse dans l'abitacle de la voiture. Et Markus dit, la queue entre les dents, une
série de gémissement qui attirèrent l'attention des occupants.
"Ecoutez, tous, j'ai quelque chose de très important à vous dire."
Germaine coupa sec, l'apparté, et dit : j'ai un niveau d'étude
suffisant pour savoir ce qui me revient de droit. Ce n'est pas parce que l'on
ne me connait pas que je n'ai pas publié. Et vous, à quel age avez vous passez
votre bac ? D'ailleurs, chers guerriers du dimanche, le célébrissime Albert EINSTEIN
a écrit cette phrase extrême : " La militarisation , c'est le CANCER de la civilisation"
Qu'en pensez-vous ?
...
...
Werner fit pivoter sa tête, un oeil plié vers la Germaine :
"keske tu baves là comme connerie ? T'en as pas assez dans ta culotte
pour l'étaller à l'air libre ? Putain, Markus, y a un divan là bas, sur le bas coté...
occupes là un peu, qu'elle nous lache ! "
Et Germaine :
"Le comportement intime des gens détermine leur comportement public !
Il est utile de savoir que Mitterrand a confié la lourde tâche de la Défense
Nationale à un obsédé sexuel qui s'est marié officiellement à 5 ( oui , cinq )
reprises , à tel point que le président a fini par lui dire :
" HERNU , vous n'êtes pas obligé d'épouser chaque fois que vous couchez ! "
Choisir ses compagnes parmi les danseuses du LIDO ou du CRAZY HORSE ,
c'est d'un goût plus que douteux pour un ministre , ce qui peut expliquer les
dérives multiples de HERNU comme celle de WERNER !
La fin du ministre de la Défense de la France a d'ailleurs été minable
puisqu'il s'est affalé en râlant grossièrement à la tribune d'un meeting public
puis est mort en coulisses !
EROS et THANATOS , râles de jouissance et de mort , tout est lié !
Werner renfonça sa tête défaite dans la boule de billard et approcha sa
bouche du cul du chien où Markus était caché...
- Qu'est ce qu'on fait ?
#61
- Des visions balbutia Markus, elle a des visions, ...
- Tu veux dire qu'elle est en délirium tremens oui, rétorqua Werner, Biére, eau de Javel je savais que ça allait faire des dégats.
- Trés mince, trés mince, vous l'avez pas bien chouffé les mecs la madonne des comptoirs, elle fait bien dans ses 120 kg au bas mot répliqua Maurice du fond de la voiture.
- Toi n'en rajoutes pas, tu vas nous l'énerver encore plus, bon alors on fait quoi ? insista Werner en se retournant vers Markus.
- Elle est habitée, ... elle est habitée ...
- Non mais vous révez les mecs ou quoi ? Brailla Maurice, Vous avez vu le gabarit du morcif ? Pas question d'essayer de la saut...
- Mais tu vas la boucler toi oui ou merde ? Hurla Werner, bon alors, la suite ?
Markus était terrorisé, pale comme un suaire, il balbutiait
- ... Kedith, Kedith, elle est habitée par Kedith...
Maurice se pencha vers Markus, qui s'effondrait de plus en plus au fond de la voiture, le regard vide, empreint d'une terreur viscérale.
- Dis donc, j'ai l'impression qu'il part en live le pépére, il a du rester trop longtemps le nez au niveau du fion du clébard. Ca lui a attaqué le neurone.
- Ca ou la gueule, c'est pareil soupira Werner, bon qu'est-ce qu'il raconte ?
- Faudrait se bouger d'ici dit Gérard, on va se faire topper par une patrouille si on reste encore là et pas sur que le sous-marin nous attende.
- C'est quoi cette Kedith ?
- ... une revenante, un esprit malfaisant, l'ange noir de la persécution, un hymne à la paranoïa, elle persécute Knell, un autre esprit lui aussi, faible, trés faible d'esprit ...Disait Markus les yeux dans le vide.
Maurice regarda Werner dans les yeux, le regard inquiet.
- Dis donc il est vraiment secoué de chez secoué le Boche, il a pris quelque chose ou quoi ? y'a pas que les effluves du clébard pour le mettre dans un état pareil.
Werner attrappa le col de Markus d'une main et le secoua violement.
- Bon qu'est-ce qu'il se passe, qu'est-ce que tu racontes ?
Markus regarda Werner terrorisé.
- Elle parle, elle parle en dormant, ... Germaine de temps en temps est habitée par un esprit, celui d'une Kedith, un esprit qui persécute un certain Knell ...
- Mais c'est quoi ce charabia ? C'est qui cette Kedith ? et ce Knell ? C'est qui ces rigolos ?
- Knell ... l'esprit frappeur, continua Markus, le destructeur anal, chaussant du 60 fillette pour faire peur aux petits enfan ...
- Bon on s'en fout coupa Gérard, j'entends du bruit, cette fois ci ça va être chaud, à cette heure ça ne peut-être que les Boches.
- Tirons nous fissa cria Werner en remontant dans la voiture.
- Et la grosse ?
- On s'en fout, on se casse, on la laisse discuter avec les Boches, ca leur fera des souvenirs, aux rescapés, à raconter à leurs petits enfants.
- Les pauvres murmura René.
Gérard écrasa l'accélérateur, la voiture disparue dans la nuit laissant Germaine dansant à moitié nue au milieu de la route.
Exit la grosse ...
Signé Werner, truffe qui nous remet tout ça dans le droit chemin (jusqu'à la prochaine fois)
- Tu veux dire qu'elle est en délirium tremens oui, rétorqua Werner, Biére, eau de Javel je savais que ça allait faire des dégats.
- Trés mince, trés mince, vous l'avez pas bien chouffé les mecs la madonne des comptoirs, elle fait bien dans ses 120 kg au bas mot répliqua Maurice du fond de la voiture.
- Toi n'en rajoutes pas, tu vas nous l'énerver encore plus, bon alors on fait quoi ? insista Werner en se retournant vers Markus.
- Elle est habitée, ... elle est habitée ...
- Non mais vous révez les mecs ou quoi ? Brailla Maurice, Vous avez vu le gabarit du morcif ? Pas question d'essayer de la saut...
- Mais tu vas la boucler toi oui ou merde ? Hurla Werner, bon alors, la suite ?
Markus était terrorisé, pale comme un suaire, il balbutiait
- ... Kedith, Kedith, elle est habitée par Kedith...
Maurice se pencha vers Markus, qui s'effondrait de plus en plus au fond de la voiture, le regard vide, empreint d'une terreur viscérale.
- Dis donc, j'ai l'impression qu'il part en live le pépére, il a du rester trop longtemps le nez au niveau du fion du clébard. Ca lui a attaqué le neurone.
- Ca ou la gueule, c'est pareil soupira Werner, bon qu'est-ce qu'il raconte ?
- Faudrait se bouger d'ici dit Gérard, on va se faire topper par une patrouille si on reste encore là et pas sur que le sous-marin nous attende.
- C'est quoi cette Kedith ?
- ... une revenante, un esprit malfaisant, l'ange noir de la persécution, un hymne à la paranoïa, elle persécute Knell, un autre esprit lui aussi, faible, trés faible d'esprit ...Disait Markus les yeux dans le vide.
Maurice regarda Werner dans les yeux, le regard inquiet.
- Dis donc il est vraiment secoué de chez secoué le Boche, il a pris quelque chose ou quoi ? y'a pas que les effluves du clébard pour le mettre dans un état pareil.
Werner attrappa le col de Markus d'une main et le secoua violement.
- Bon qu'est-ce qu'il se passe, qu'est-ce que tu racontes ?
Markus regarda Werner terrorisé.
- Elle parle, elle parle en dormant, ... Germaine de temps en temps est habitée par un esprit, celui d'une Kedith, un esprit qui persécute un certain Knell ...
- Mais c'est quoi ce charabia ? C'est qui cette Kedith ? et ce Knell ? C'est qui ces rigolos ?
- Knell ... l'esprit frappeur, continua Markus, le destructeur anal, chaussant du 60 fillette pour faire peur aux petits enfan ...
- Bon on s'en fout coupa Gérard, j'entends du bruit, cette fois ci ça va être chaud, à cette heure ça ne peut-être que les Boches.
- Tirons nous fissa cria Werner en remontant dans la voiture.
- Et la grosse ?
- On s'en fout, on se casse, on la laisse discuter avec les Boches, ca leur fera des souvenirs, aux rescapés, à raconter à leurs petits enfants.
- Les pauvres murmura René.
Gérard écrasa l'accélérateur, la voiture disparue dans la nuit laissant Germaine dansant à moitié nue au milieu de la route.
Exit la grosse ...
Signé Werner, truffe qui nous remet tout ça dans le droit chemin (jusqu'à la prochaine fois)
-
Cpt_Vermine
- Apprenti-Mécano
- Messages : 394
- Inscription : 29 octobre 2004
#64
Bon ben y a pu qu'a attendre le commentaire et la photo de M'ame Francoise et le Knell pourra s'y mettre.
Voili, voilo ....
Signe Werner, truffe qui va tailler son crayon et chercher sa gomme
Voili, voilo ....
Signe Werner, truffe qui va tailler son crayon et chercher sa gomme
-
Cpt_Vermine
- Apprenti-Mécano
- Messages : 394
- Inscription : 29 octobre 2004
#65
Wha l'autre, des photos de grosses a poil, c'est pas françoise qui en envoie sur IRC d'habitudewerner a écrit :Bon ben y a pu qu'a attendre le commentaire et la photo de M'ame Francoise et le Knell pourra s'y mettre.
Voili, voilo ....
Signe Werner, truffe qui va tailler son crayon et chercher sa gomme
#66
A savourer sans modération
Cherches pas ta gomme il n'y a pas une ligne à effacer
Knelllllllllllllllllllllllll a toi de jouer
françoise qui retourne au coin de feu
Cherches pas ta gomme il n'y a pas une ligne à effacer
Knelllllllllllllllllllllllll a toi de jouer
françoise qui retourne au coin de feu
#67
Trop fort la photo, vraiment trop fort ..,
Merci M'dame.
Euh... Knell, je crois qu'on t'appelle, et pi faire attendre la madame ca serait pas poli pas poli du tout et faire pire que Mhm ca m'etonnerai quand meme pace que le coup de Germaine fallait quand meme s'accrocher et pi moi je dis ca mais je dis rien, d'ailleur je vais aller prendre l'air car je sens quand meme que ca va etre gratine ...
Signe Werner, truffe qui commence deja a avoir des sueurs froides
Merci M'dame.
Euh... Knell, je crois qu'on t'appelle, et pi faire attendre la madame ca serait pas poli pas poli du tout et faire pire que Mhm ca m'etonnerai quand meme pace que le coup de Germaine fallait quand meme s'accrocher et pi moi je dis ca mais je dis rien, d'ailleur je vais aller prendre l'air car je sens quand meme que ca va etre gratine ...
Signe Werner, truffe qui commence deja a avoir des sueurs froides
#68
T'sais Werner, t'sais bien, je peux faire encore pire...
mais ça serait trop dur pour toi... tu tiendrais pas ce millesime.
avec toute la pâte de ma mauvaise langue bien
gardée denrière mon col roulé.
mais ça serait trop dur pour toi... tu tiendrais pas ce millesime.
avec toute la pâte de ma mauvaise langue bien
gardée denrière mon col roulé.
#69
Désolé, j y arrive pas, j ai le cerveau mou en ce moment :(
#avionmoche : Mais le F35 reste moche ...
#70
.........mou ....très mou....Mais a ton age c'est pas écrit dans le manuel.......pas plus d'un par jour .......si non ça fatigue
............. presque comme les blondess 
#71
Bon, pendant que je laisse M'ame Françoise à ses considérations sur Knell (et les blondes), une ch'tite suite vite fait en passant en attendant que le neurone Knellien sorte de jachére.
C'est vrai qu'avec la grosse c'était pas mal, mais je me voyais mal me la trimballer jusqu'au bout, donc là c'est plus calme.
(je fais de toute façon confiance à Mhm qui va nous sortir un éléphant, un couvent de Carmélites ou un Mirage 2000 de son chapeau. - je le hais)
***************************************
La voiture fonçait à toute berzingue. Par la fenêtre ouverte, Werner entendit quelques hurlements et cris en Allemand.
C'est bon pensa-t-il, ils sont bien tombés sur Kedith, ça va les occuper un bout de temps.
- Vous entendez les gars ? Terribles ces cris reprit Marcel, ça me glace le sang. Vous croyez que Kedith entre dans le cadre de la Convention de Genéve ? On va être emmerdé aprés la guerre.
- Boarf, c'est notre arme secréte à nous répondit Maurice, de toute façon, m'étonnerai qu'il y ait des survivants pour raconter tout ça.
Markus était terrorisé. Retrospectivement, il avait eu chaud. Il n'imaginait pas à quel point cette Germaine était un monstre.
Bon, on a l'air de vraiment partir à un rendez vous avec un sous-marin, donc il ne vont pas m'exécuter, du moins pas encore songea-t-il.
La voiture s'engagea dans un chemin en forêt et cahin caha arriva sur une plage.
Elle se tourna face à la mer.
Gérard regarda sa montre.
- Il est l'heure, il doit être là.
Il fit une série d'appels de phare.
Au bout de quelques secondes un projecteur répondit.
- C'est bon, c'est lui, allez y, ils vont mouiller un dinghy.
- Attends attends dit René, je veux voir si je suis complétement rouillé en morse, je vais leur dire bonjour en morse.
René se précipita sur l'appel de phare et envoya quelques flashs plus ou moins longs.
La réponse du sous marin ne se fit pas attendre et le projecteur du kiosque s'illumina par intermittence.
- Pfffffffffffff souffla René renfrogné, les cons ...
- Quoi qu'est ce qu'ils t'ont répondu ? demanda Maurice.
- Z'ont pas du bien comprendre mon accent...
- Dis quoi ?
- M'ont répondu "Mange" dit-il en se levant de la voiture.
Le dinghy aborda, un officier s'adressa à la petite troupe groupée sur la plage.
- 8 pax ? Je n'en vois que 6, il y a eu un probléme ?
- Euh non 8 dit Werner en regardant le chien assis à ses pieds.
- Miarwww
L'officier anglais regarda le chien étonné et leva les yeux vers le chat qui miaulait dans les bras de René.
- Euh ,... Mais ce n'était pas prévu cette ménagerie, ce n'est pas l'Arche de Noé , je ne sais pas si nous allons pouvoir, c'est un sous-marin de sa Majes...
- Dites, le coupa Werner, les animaux ne sont pas sacrés en Angleterre, il m'avait semblé non ?
- Bon il nous gonfle le Brit commença à crier Maurice derrière la smala en attente. Toutes ces conneries pour monter sur son rafiot ça me rappelle Dunkerque et j'ai pas un bon souvenir, laissez moi passer je vais lui expliquer.
Maurice commença a bousculer tout le monde, rouge de colére. Marcel le ceintura pendant que Raymond le retenait. Le chat des bras de René, tendait la patte et essayait de griffer l'officier anglais, une vieille habitude devenue quasi-instinctive chez lui.
les deux matelots, armés, venu avec le dinghy reculaient en étreignant leur arme.
Bref, c'était le bordel.
- Ca suffit derriére cracha Werner en colére. Maurice ta gueule, tu vas pas nous le baffer celui-là, marre d'aller te chercher au trou.
- Et bien, ... euh ... que se passe-t-il ? s'étonna l'Anglais surpris par cette agitation qui lui semblait hostile. Il faut que je demande des instructions.
- Bon écoute pépére tu nous prends tous ou tu t'en prends une. Le chien bouffe des topinambours et des rutabagas depuis un an, j'ai peur qu'il interpréte mal s'il me sent contrarié. Dés que le chat dés voit un officier anglais faut qu'il essaye de le castrer sinon on a Maurice, grand historien devant l'éternel qui va te faire un son et lumiére sur Dunkerque, je sens que tu vas aimer mais j'ai pas l'impression que tu aies le beau role, alors tu vas nous laisser monter sur ton rafiot sinon tu vas rentrer en Angleterre par la poste en colis recommandés.
- Euh, ... tout cela ne me parait pas bien correct, le temps presse embarquez !
la smala se précipita et s'entassa dans le dinghy. Il cingla immediatement vers la forme noire qui attendait a 200 métres du rivage.
- 'Vache ca me rappelle la bagnole maugréa Raymond.
- Grrrrrrr répondit le chien dont la queue était outragée par une chaussure baladeuse.
- Ca va Werner ? demanda Marcel.
- BURP ! ... malade ...
- Déja !
Le dinghy aborda le sous marin et tout le monde se précipita vers l'écoutille.
- Dis donc, tu n'entends rien ? remarqua Marcel
- Mmmmmmmm un avion ... on dirait
- Un quadrimoteur.
Le bruit enfla.
- Plus vite plus vite ! s'écria l'officier anglais
- Un des notres ?
- Si bas ... ?
- Laisse tomber, rentre .
Bousculé par Maurice qui le poussait vers l'écoutille, Markus leva le nez en l'air. Le bruit était famillier.
Focke Wulf 200 ... un Condor, la traversée risque d'être agitée pensa-t-il en entrant dans le sous marin.
***********************************************
@Knell : Dis donc, M'ame Françoise elle parle bien de vol ? Hein ? Pas plus de un vol par jour c'est bien ça ?
(Tu emménes des blondes dans tes avions ? J'aurai du faire ce métier, je le savais)
J'ai tout compris, hein, dis moi ?
(surtout que je suis plus vieux que toi ...)
Signé Werner, truffe poule pondeuse
C'est vrai qu'avec la grosse c'était pas mal, mais je me voyais mal me la trimballer jusqu'au bout, donc là c'est plus calme.
(je fais de toute façon confiance à Mhm qui va nous sortir un éléphant, un couvent de Carmélites ou un Mirage 2000 de son chapeau. - je le hais)
***************************************
La voiture fonçait à toute berzingue. Par la fenêtre ouverte, Werner entendit quelques hurlements et cris en Allemand.
C'est bon pensa-t-il, ils sont bien tombés sur Kedith, ça va les occuper un bout de temps.
- Vous entendez les gars ? Terribles ces cris reprit Marcel, ça me glace le sang. Vous croyez que Kedith entre dans le cadre de la Convention de Genéve ? On va être emmerdé aprés la guerre.
- Boarf, c'est notre arme secréte à nous répondit Maurice, de toute façon, m'étonnerai qu'il y ait des survivants pour raconter tout ça.
Markus était terrorisé. Retrospectivement, il avait eu chaud. Il n'imaginait pas à quel point cette Germaine était un monstre.
Bon, on a l'air de vraiment partir à un rendez vous avec un sous-marin, donc il ne vont pas m'exécuter, du moins pas encore songea-t-il.
La voiture s'engagea dans un chemin en forêt et cahin caha arriva sur une plage.
Elle se tourna face à la mer.
Gérard regarda sa montre.
- Il est l'heure, il doit être là.
Il fit une série d'appels de phare.
Au bout de quelques secondes un projecteur répondit.
- C'est bon, c'est lui, allez y, ils vont mouiller un dinghy.
- Attends attends dit René, je veux voir si je suis complétement rouillé en morse, je vais leur dire bonjour en morse.
René se précipita sur l'appel de phare et envoya quelques flashs plus ou moins longs.
La réponse du sous marin ne se fit pas attendre et le projecteur du kiosque s'illumina par intermittence.
- Pfffffffffffff souffla René renfrogné, les cons ...
- Quoi qu'est ce qu'ils t'ont répondu ? demanda Maurice.
- Z'ont pas du bien comprendre mon accent...
- Dis quoi ?
- M'ont répondu "Mange" dit-il en se levant de la voiture.
Le dinghy aborda, un officier s'adressa à la petite troupe groupée sur la plage.
- 8 pax ? Je n'en vois que 6, il y a eu un probléme ?
- Euh non 8 dit Werner en regardant le chien assis à ses pieds.
- Miarwww
L'officier anglais regarda le chien étonné et leva les yeux vers le chat qui miaulait dans les bras de René.
- Euh ,... Mais ce n'était pas prévu cette ménagerie, ce n'est pas l'Arche de Noé , je ne sais pas si nous allons pouvoir, c'est un sous-marin de sa Majes...
- Dites, le coupa Werner, les animaux ne sont pas sacrés en Angleterre, il m'avait semblé non ?
- Bon il nous gonfle le Brit commença à crier Maurice derrière la smala en attente. Toutes ces conneries pour monter sur son rafiot ça me rappelle Dunkerque et j'ai pas un bon souvenir, laissez moi passer je vais lui expliquer.
Maurice commença a bousculer tout le monde, rouge de colére. Marcel le ceintura pendant que Raymond le retenait. Le chat des bras de René, tendait la patte et essayait de griffer l'officier anglais, une vieille habitude devenue quasi-instinctive chez lui.
les deux matelots, armés, venu avec le dinghy reculaient en étreignant leur arme.
Bref, c'était le bordel.
- Ca suffit derriére cracha Werner en colére. Maurice ta gueule, tu vas pas nous le baffer celui-là, marre d'aller te chercher au trou.
- Et bien, ... euh ... que se passe-t-il ? s'étonna l'Anglais surpris par cette agitation qui lui semblait hostile. Il faut que je demande des instructions.
- Bon écoute pépére tu nous prends tous ou tu t'en prends une. Le chien bouffe des topinambours et des rutabagas depuis un an, j'ai peur qu'il interpréte mal s'il me sent contrarié. Dés que le chat dés voit un officier anglais faut qu'il essaye de le castrer sinon on a Maurice, grand historien devant l'éternel qui va te faire un son et lumiére sur Dunkerque, je sens que tu vas aimer mais j'ai pas l'impression que tu aies le beau role, alors tu vas nous laisser monter sur ton rafiot sinon tu vas rentrer en Angleterre par la poste en colis recommandés.
- Euh, ... tout cela ne me parait pas bien correct, le temps presse embarquez !
la smala se précipita et s'entassa dans le dinghy. Il cingla immediatement vers la forme noire qui attendait a 200 métres du rivage.
- 'Vache ca me rappelle la bagnole maugréa Raymond.
- Grrrrrrr répondit le chien dont la queue était outragée par une chaussure baladeuse.
- Ca va Werner ? demanda Marcel.
- BURP ! ... malade ...
- Déja !
Le dinghy aborda le sous marin et tout le monde se précipita vers l'écoutille.
- Dis donc, tu n'entends rien ? remarqua Marcel
- Mmmmmmmm un avion ... on dirait
- Un quadrimoteur.
Le bruit enfla.
- Plus vite plus vite ! s'écria l'officier anglais
- Un des notres ?
- Si bas ... ?
- Laisse tomber, rentre .
Bousculé par Maurice qui le poussait vers l'écoutille, Markus leva le nez en l'air. Le bruit était famillier.
Focke Wulf 200 ... un Condor, la traversée risque d'être agitée pensa-t-il en entrant dans le sous marin.
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@Knell : Dis donc, M'ame Françoise elle parle bien de vol ? Hein ? Pas plus de un vol par jour c'est bien ça ?
(Tu emménes des blondes dans tes avions ? J'aurai du faire ce métier, je le savais)
J'ai tout compris, hein, dis moi ?
(surtout que je suis plus vieux que toi ...)
Signé Werner, truffe poule pondeuse
#72
Trop fort Werner......... .....vraiment trop doué l'écrivain......
Mhm...mhm...dis tu le gardes en mer ton col roulé?..........
Non parceque la on va s'accrocher .........vous pouvez .........
Larguer les amarres
françoise qui va chercher un petit sac en papier
.....vraiment trop doué l'écrivain......Mhm...mhm...dis tu le gardes en mer ton col roulé?..........
Non parceque la on va s'accrocher .........vous pouvez .........
Larguer les amarres
françoise qui va chercher un petit sac en papier
#73
Merci à Werner et Knell pour vos pages d'anthologie !!!:Jumpy:
Merci à Françoise pour tes superbes photos !!!:detective
Oli qui va ranger soigneusement sa brosse à caresser dans le sens du poil
Merci à Françoise pour tes superbes photos !!!:detective
Oli qui va ranger soigneusement sa brosse à caresser dans le sens du poil
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#74
fait toujours plaisir de recevoir un vent.
Heureusement je suis protégé contre les courants d'air.
Heureusement je suis protégé contre les courants d'air.
