
Pour en revenir aux NOSA, il y a quand même une variable à ne pas oublier...ne pas être sensible au mal de l'air. Un pilote me racontait qu'un de ses copains de promo orienté NOSA à passé ses 15 premiers vols avec le sac à vomi. Après c'est passé, mais il a fallu que le type s'accroche dur (pas facile de partir en mission et être évalué quand on sait qu'on va être malade...).
N'étant pas sensible au mal de l'air en Transall et autres transporteurs et avions légers, j'avoue qu'une fois ficelé comme un rôti sur le siège éjectable, respirer au travers d'un masque qui pue et transpirer à grosses gouttes ça m'a rendu malade pratiquement à chaque fois. Heureusement la seule chose que j'avais à faire c'était profiter du paysage. Certaines personnes n'y sont pas sensibles, d'autres le découvrent lorsqu'elles volent en chasseur.
Je te souhaite d'arriver à faire le métier qui te passionne, accroches toi!
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