Beechcraft King Air 350 ASLR

[RAMIUS1983]

Investir dans une mauvaise boule FLIR pour montrer qu'il faut payer le prix d'une bonne boule FLIR pour avoir les perfs, ce n'est pas une question de taille de porte-monnaie.

Ils ont acheté la FLIR car c'était la solution pas cher du moment et maintenant ils vont rétrofiter avec une boule Safran car il y a des intérêts économiques chez nous et qu'elle est performante. Ils auraient pu prendre la Mx-15 ou 20 (canadienne) plus cher que la FLIR à l'époque et plus performante . Les Américains eux prennent sur étagère ce qu'ils ont de plus performant en construction locale d'où la taille du porte monnaie. Ils ne se posent pas trop de question car ils ont l'industrie locale qui produit parmi ce qu'il y a de meilleur sur le marché.

La Flir y'a des Retex dessus, les Douaniers ont des boules FLIR sur leur Kingair, on était en terrain connu.

Maintenant si je me souviens bien les FLIR ont leur intégration déjà faite sur les Kingair, poser une nouvelle boule implique une étude ainsi que de la certification et ça a un coût en argent et en temps. Sûrement ce que l'armée de l'air a voulu éviter. Le futur rétrofit est cohérent, puisque nous produisons des boules de meilleure qualité chez nous que la FLIR désormais, dommage qu'elle n'ai pas été proposée dès le départ. Après il faut pas se dire que ces moyens sont inutiles car ils permettent plus d'autonomie dans les missions de rens en attendant d'avoir un moyen plus gros en service, et en plus le rétrofit fait tourner notre industrie et rapporte à la France.

Faut pas oublier que niveau rens nos drone MALE sont américains pas terrible question indépendance.

Taille de cerveau ?

intérêts mal placés... je suis déjà dehors

[Deltafan]

Article OPEX 360, avec le titre : L’escadron 4/33 Périgord a reçu ses deux premiers avions légers de renseignement « VADOR » à Cognac

https://www.opex360.com/2023/08/24/lesc ... -a-cognac/

Depuis le retrait de ses deux Transall C-160G « Gabriel », en mai 2022, l’Escadron électronique aéroporté 1/54 Dunkerque ne disposait plus que de deux Avions légers de surveillance et de renseignement [ALSR] « VADOR » [pour Vecteur aéroporté de désignation, d’observation et de reconnaissance] pour effectuer ses missions. Et cela dans l’attente de l’arrivée de trois Falcon 8x « Archange » à l’horizon 2025.
(...)
Cependant, le projet de faire cohabiter les VADOR avec les drones MQ-9 Reaper de la 33e ESRA a été confirmé. Et c’est ainsi que, le 21 août, les deux VADOR ont quitté Évreux pour rejoindre Cognac, où pour les accueillir, l’escadron 4/33 « Périgord » a été réactivé [il avait été mis en sommeil… en 1945].
(...)
La mission du 4/33 Périgord consistera donc à « recueillir, intercepter, analyser et fusionner des informations multi-capteurs afin d’éclairer les décideurs du niveau tactique au niveau stratégique ». Pour cela, il devrait donc recevoir un troisième ALSR en 2026. Pour rappel, les VADOR sont en passe d’être équipés du système électro-optique aéroporté Euroflir 410D [fourni par Safran], lequel leur permet de « détecter et d’identifier des menaces à plusieurs dizaines de kilomètres ». En outre, ils ont également une capacité à intercepter les signaux électro-magnétiques [ROEM].

Par ailleurs, et en attendant la mise en service des Falcon Archange, la capacité de renseignement électronique aéroportée perdue avec le retrait des C-160G doit être « récupérée » dans le cadre du contat « SOLAR », c’est à dire grâce à la location d’un avion Saab 340 doté de capteurs de nouvelle génération auprès d’un prestataire privé [CAE Aviation, en l’occurrence].

[Deltafan]

Article A&C, avec le titre : La France espionne aussi la Russie : un ALSR de l'Armée de l'Air et de l'Espace autour de Kaliningrad

https://air-cosmos.com/article/la-franc ... grad-68321

Il est habituel de voir de nombreux avions de reconnaissance électromagnétique américains, anglais, suédois,… survoler la frontière Est de l’OTAN. Or, depuis la mi-janvier, l’Armée de l’Air et de l’Espace a déployé un ALSR en Estonie. Celui-ci a déjà effectué des missions de reconnaissance et de collecte de renseignement sur les troupes russes de Saint-Pétersbourg, le long de la frontière estonienne ou encore la très stratégique exclave de Kaliningrad.

Depuis le début l'invasion russe de l'Ukraine le 24 février 2022, de nombreux avions de reconnaissance patrouillent constamment sur le flanc Est de l'OTAN. Les RC-135 Rivet Joint de la Royal Air Force et de l'US Air Force, les E-3 Sentry de l'OTAN, de l'USAF (...)
(la suite pour les abonnés)