Sur la partie haute des tubes très fins de styrène permettent de faire des durites bien parallèles
et donnent un aspect «manufacturé» qui discipline un peu le fatras des tuyaux.
Un cerclage de plomb masque les gabarits d’écartement en styrène.
Le schéma en haut de l’image détaille le montage du gros tuyau.
Certains tuyaux sont posés en trompe l’oeil.
Ici par exemple la partie arrière des 3 tuyaux parallèles est invisible.
La partie arrière du boîtier masque le départ de durites, je les fait donc partir de trous
percés à même le réacteur.
En fait, à ce moment du montage, je n’avais pas encore pris la descision de finaliser
le réacteur dans sa totalité.
Par la suite je vais être obligé de rectifier ces parties.
À ce stade, un petit chevalet en carton plume m’évite de tout exploser quand je fais tourner
le moteur pour travailler un coté.
Le réservoir empêche le réacteur de rentrer dans son logement, il va falloir faire quelque chose....
Une fois dedans, on voit l’étendue de ce qu’il faut modifier.
ça va charcuter....