
Donc, l'Inde serait tentée de prendre des Rafale M en leasing pour son futur PA CATOBAR !

Les Rafale M1 à M10...ils sont F3 après toutTOPOLO a écrit : ↑mar. mai 11, 2021 5:46 pmD'un autre côté, si on veut des M-F4 sans avoir à payer le retrofit, ce serait peut être une bonne idée de placer la moitiés de ceux dont on dispose en occase...
Après tout, même si ils les utilisent depuis un STOBAR avec 4 MICA... tant que la Royale est livrée avec du neuf, c'est bon à prendre, non ?
Ils sont sans doute même F3-R !jojo a écrit : ↑mar. mai 11, 2021 6:37 pmLes Rafale M1 à M10...ils sont F3 après toutTOPOLO a écrit : ↑mar. mai 11, 2021 5:46 pmD'un autre côté, si on veut des M-F4 sans avoir à payer le retrofit, ce serait peut être une bonne idée de placer la moitiés de ceux dont on dispose en occase...
Après tout, même si ils les utilisent depuis un STOBAR avec 4 MICA... tant que la Royale est livrée avec du neuf, c'est bon à prendre, non ?
Le problème c'est qu'il faudrait livrer les avions de remplacement avant de livrer les Indiens, sinon ça va être tendu pour la Royale !!!
Très intéressant et très bien documenté cet article !Deltafan a écrit : ↑lun. mai 17, 2021 2:55 pmArticle de Portail-Aviation (première des deux parties), dont j'ai parlé plus haut, sur les accusations de Mediapart :
http://www.portail-aviation.com/blog/20 ... -dassault/
![]()
Bienvenue au clubironclaude a écrit : ↑lun. mai 17, 2021 5:15 pmEn ce qui concerne Mediapart, je ne suis pas comme certains béat d'admiration devant ce média. Plenel n'a rien d'un chevalier blanc, il a commencé comme Trotskiste ( ceux qui ont passé 50 ans à raconter qu'ils étaient / auraient été meilleurs que les "stals", sauf que s'ils avaient accédé au pouvoir, j'ai des doutes sur ce que ça aurait donné... ), et ça se sent encore.
Cinq ans après la vente de 36 avions Rafale à l'Inde, l'ONG Sherpa a obtenu de la justice française la saisine d'un juge d'instruction pour enquêter sur des soupçons de corruption sur ce contrat à plusieurs milliards d'euros.
Le parquet national financier (PNF) a confirmé à l'AFP l'information publiée vendredi par Mediapart selon laquelle il avait pris le 14 juin un réquisitoire introductif saisissant un juge d'instruction de ce dossier qui suscite depuis plusieurs années l'émoi en Inde.
Fin 2018, Sherpa avait déposé une première plainte afin que le PNF enquête sur cette vente datant de septembre 2016 pour un montant de 7,8 milliards d'euros.
L'ONG dénonçait en particulier le choix de Reliance, partenaire indien de Dassault dans cette vente et entreprise d'un homme d'affaires proche du Premier ministre indien Narendra Modi.
Dassault avait remporté un appel d'offres en 2012 pour fournir 126 avions et négociait depuis avec l'avionneur indien Hindustan Aeronautics Ltd (HAL).
Des négociations conclues "à 95%" en mars 2015, selon Dassault. Mais le mois suivant, après une visite officielle en France de M. Modi, les négociations furent rompues à la surprise générale.
Reliance Group, société privée sans expérience dans l'industrie aéronautique, s'était alors imposée au détriment de HAL pour finaliser un nouveau contrat, portant sur la livraison de 36 aéronefs.
En janvier 2016, au moment des ultimes négociations, Reliance Group avait financé un film coproduit par Julie Gayet, compagne du président de l'époque, François Hollande.
Un possible "trafic d'influence", soupçonne Sherpa.
- "Redressement fiscal" -
L'ex-chef de l’État s'était défendu de tout conflit d'intérêts, affirmant que la France n'avait "pas eu le choix" du partenaire indien de Dassault, suscitant nombre de réactions en Inde.
Jean-Yves Le Drian, actuel ministre français des Affaires étrangères et ex-ministre de la Défense du président socialiste, avait lui martelé que Paris n'avait subi "aucune pression" de New Delhi.
En avril 2019, Le Monde avait aussi révélé que la France avait annulé en 2015 un redressement fiscal d'un montant global de 143,7 millions d'euros visant une entreprise française appartenant à Reliance Group, au moment même où se négociait cette vente.
Un proche collaborateur d'Anil Ambani, patron de Reliance, s'était vanté auprès du journal d'avoir rencontré, avec l'homme d'affaires indien, Emmanuel Macron dans son bureau de ministre de l'Économie au début de l'année 2015 pour y régler le contentieux fiscal.
Le PNF avait classé sans suite la première dénonciation de Sherpa en juin 2019, sans ouvrir d'enquête préliminaire.
Mais en avril, Mediapart a accusé dans une série d'articles ce parquet spécialisé dans la lutte contre les infractions financières et l'Agence française anticorruption (AFA) d'avoir "enterré" les soupçons entourant cette vente controversée.
Selon le site d'informations, l'ex-cheffe du PNF Eliane Houlette aurait refusé d'enquêter sur cette vente aéronautique d'ampleur, contre l'avis de son adjoint.
"Ce dossier a été classé sans suite pour absence d'infraction", avait répondu le PNF, tandis que l'AFA n'avait pas souhaité réagir.
Mediapart évoquait aussi des "millions d'euros de commissions occultes" versées à un intermédiaire soupçonné d'avoir aidé Dassault à conclure la vente, dont "une partie (...) aurait pu être reversée sous forme de pots-de-vin" à des officiels indiens.
Dassault avait rétorqué qu'"aucune infraction n'(avait) été signalée" dans le cadre des contrôles auxquels le groupe est soumis.
A la suite de ces articles, Sherpa a donc déposé le 22 avril une plainte avec constitution de partie civile à Paris pour des soupçons de "corruption" et "trafic d'influence actifs et passifs", recels et blanchiments de ces délits, ainsi que "concussion" et "recel de favoritisme".
Prenant acte de cette plainte, qui permet la désignation quasi-automatique d'un juge d'instruction, le PNF a pris le 14 juin un réquisitoire introductif ouvrant cette information judiciaire sur les qualifications "visées par la plainte de l'association Sherpa".
Malgré son classement en juin 2019 du signalement de l'association, le PNF ne s'oppose donc pas à la nouvelle demande de celle-ci.
Il revient désormais au juge d'instruction saisi de lancer les investigations ou de prendre une ordonnance pour signifier son refus de s'y atteler.
"C'est un premier pas important vers la manifestation de la vérité dans un dossier qui présente déjà toutes les apparences d'un scandale d'Etat", ont réagi auprès de l'AFP vendredi soir les avocats de Sherpa William Bourdon et Vincent Brengarth.
Dans ce genre ?geoffrey_be a écrit : ↑sam. juil. 03, 2021 8:41 pm... si un juge américain pouvait se pencher sur les contrats obtenus par le F-35.
L’IAF se prépare à déclarer opérationnel son deuxième escadron de Rafale d’ici la fin du mois de juillet, et basé à Hasimara dans l’ouest du Bengale. Le premier basé à Ambala avait reçu son IOC le 10 septembre 2020. Dénommé « Falcons of Chhamb and Akhnoor » et disposant pour le moment de 7 sept chasseurs, il devrait atteindre sa pleine capacité courant 2022 avec 18 appareils. Placé sur des points stratégiques, près du Pakistan et la Chine pour l’un, et du Bangladesh pour l’autre, l’IAF espère ainsi beaucoup de son nouveau chasseur.
(...)
L’IAF a (...) demandé quelques modifications techniques sur ses appareils comme le démarrage à froid en haute altitude, un enregistreur de vol avec un stockage de 10 heures, et l'intégration de plusieurs capteurs israéliens (optronique, et guerre électronique). Mis en scène lors des affrontements près de la LAC (Line of Actual Control), sa présence dans la région aurait contribué à une révision des plans de l’armée chinoise, qui a alors déplacé ses J-20 et ses bombardiers H-6 sur les contreforts de l’Himalaya. Il opérera en partenariat avec le Su-30 MkI qui équipe les forces aériennes indiennes à hauteur de 272 exemplaires.
Lancé en 2001, le programme MMRCA (Medium Multi-Role Combat Aircraft) en est déjà à sa deuxième mouture. Si le Rafale a déjà remporté la première manche avec 36 appareils commandés, les besoins de l’IAF sont toujours de 114 aéronefs. Les concurrents du Rafale sont le Mig-35, le Gripen NG, le F-18 E/F, le Typhoon et le F-16 IN Block 70/72. Si le Rafale peut compter sur ses performances naturelles et son utilisation actuelle par l’IAF, il devra affronter le F-16 de General Dynamics qui par une stratégie audacieuse et agressive de vente essaye de voler la mise à la firme de Saint-Cloud. Mais la bonne gestion du programme Rafale, un calendrier de livraison qui n'a eu à souffrir d'aucun retard, un niveau de disponibilité des appareils supérieur à plus de 90%, et surtout la perspective de le voir prochainement atteindre les niveaux de performance des appareils de 5e génération avec le standard F4 puis F5, sont des atouts majeurs alors que Delhi se prépare à une guerre des nerfs et sur le long terme avec Pékin.
ENQUÊTE / Le responsable de l’avionneur français en Inde au cours de la vente des Rafale comme celui de l’électricien lors de la négociation de réacteurs EPR ont été ciblés par le logiciel espion Pegasus.
A l’été 2018, l’Etat indien commence à prendre au sérieux les accusations lancées par Rahul Gandhi. Pas un jour ne passe sans que le leader de l’opposition ne critique le contrat estimé à 8 milliards d’euros signé en septembre 2016 entre l’Inde et la France, pour la vente de 36 avions de combat. Il le qualifie d’« escroquerie », s’étonne que le prix ne soit pas rendu public, soupçonne le gouvernement de corruption, et reproche au premier ministre, Narendra Modi, d’avoir choisi un de ses proches, le riche homme d’affaire Anil Ambani, comme l’un des bénéficiaires des « offsets », c’est-à-dire la moitié du contrat qui doit être dépensée et sous-traitée en Inde, soit un joli pactole.
A un an des élections prévues en mai 2019, ces attaques pourraient bien ternir l’image de M. Modi, surtout que les médias donnent de plus en plus d’importance à cette « affaire Rafale ». C’est à cette période qu’Anil Ambani et ses proches sont sélectionnés pour une éventuelle mise sous surveillance par le logiciel espion Pegasus, capable d’aspirer tout le contenu d’un téléphone sans que rien n’indique à l’utilisateur que son appareil a été piraté. Leurs coordonnées figurent dans une liste de 50 000 numéros, consultée par l’organisation Forbidden Stories et Amnesty International et partagée avec dix-sept médias, dont Le Monde, réunis au sein du « Projet Pegasus ».
Se trouvent parmi les potentielles cibles Tony Jesudasan, bras droit d’Anil Ambani, nommé à la tête de la nouvelle entreprise partenaire de Dassault en Inde, Reliance Defence Limited, ainsi que son épouse, Parul Sharma Jesudasan. L’homme d’affaires n’a pas d’expérience dans l’aéronautique ni l’industrie de la défense, mais connaît mieux que personne les corridors du pouvoir et alimente régulièrement la presse indienne en rumeurs et en anecdotes. « Il a la réputation de beaucoup parler, sans doute trop », dit de lui un haut fonctionnaire indien qui n’apprécie pas son manque de discrétion.
Mais M. Jesudasan bénéficie de la confiance de son patron et l’accompagne dans tous ses déplacements en France, notamment à l’Elysée, où il rencontre François Hollande. Sans doute se sait-il surveillé, lui qui préfère communiquer par fax plutôt que par e-mail. La sélection quelques semaines plus tôt de Prashant Sukul, un haut fonctionnaire chargé de la bonne mise en œuvre des clauses d’offsets au ministère de la défense montre que l’Etat indien s’intéresse de près à l’argent qui doit être déboursé par Dassault en Inde.
(la suite est réservée aux abonnés)
Le niveau de ce blog pakdefense, n'a pas l'air de relever du prix Pulitzer...rescator a écrit : ↑mar. août 03, 2021 7:34 amEntre l'Inde et le Pakistan, tous les coups seraient-ils permis ?![]()
https://www.pakdefense.com/blog/kashmir ... an-pilots/
Merci, pour l’anecdoteironclaude a écrit : ↑mar. août 03, 2021 6:19 pmIl y a déjà quelques années, David Douillet, Champion Olympique de Judo poids lourds / toutes catégories, avait accepté de devenir le Parrain annuel de la Patrouille de France.
La Tradition veut que le Parrain soit baptisé à l'occasion d'un vol avec la PAF…
Problème, DD c'était un beau BB, et il n'arrivait pas à ce caser sur le siège, ou on ne pouvait pas fermer le cockpit (ou les deux)![]()
Solution, DD a fait son baptême a bord d'un Transall, lui-même escorté par la PAF![]()
Si on essaye de faire pareil avec Teddy Riner… maintenant il y a l'A400M![]()
Trop lourd, hors domaine du siège MK4ironclaude a écrit : ↑mar. août 03, 2021 6:19 pmProblème, DD c'était un beau BB, et il n'arrivait pas à ce caser sur le siège, ou on ne pouvait pas fermer le cockpit (ou les deux)![]()
Oui, aussi !OPIT a écrit : ↑mar. août 03, 2021 9:07 pmTrop lourd, hors domaine du siège MK4ironclaude a écrit : ↑mar. août 03, 2021 6:19 pmProblème, DD c'était un beau BB, et il n'arrivait pas à ce caser sur le siège, ou on ne pouvait pas fermer le cockpit (ou les deux)![]()
Idem pour Adriana Karembeu, une autre année.ironclaude a écrit : ↑mar. août 03, 2021 6:19 pmIl y a déjà quelques années, David Douillet, Champion Olympique de Judo poids lourds / toutes catégories, avait accepté de devenir le Parrain annuel de la Patrouille de France.
La Tradition veut que le Parrain soit baptisé à l'occasion d'un vol avec la PAF…
Problème, DD c'était un beau BB, et il n'arrivait pas à ce caser sur le siège, ou on ne pouvait pas fermer le cockpit (ou les deux)![]()
Solution, DD a fait son baptême a bord d'un Transall, lui-même escorté par la PAF![]()
Si on essaye de faire pareil avec Teddy Riner… maintenant il y a l'A400M![]()